Pas facile de s’y retrouver devant un rayon surgelé ou un étal de poissons pour bien les choisir …
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Alors voici 4 questions à se poser ou à poser au poissonnier ou au restaurateur, pour réduire les risques d’acheter des produits non durables :

🐠 Quelle est l’espèce que j’achète? Quel est son nom exact? Si la dorade est au menu, est-elle rose, grise ou royale ? Ça a son importance ! Par exemple, la dorade rose est une espèce menacée, tandis que les autres se portent mieux. La daurade royale, quant à elle, peut être de pêche ou d’élevage.
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🐠 D’où vient-il ? Pour une espèce donnée, certains stocks peuvent être très affaiblis dans une zone géographique, et être en bon état dans d’autres. C’est par exemple le cas du cabillaud, qui s’effondre en mer du Nord et se porte bien en Islande.
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🐠 Quelle est la technique de pêche utilisée ? Est-ce une technique respectueuse de l’environnement? Chalut, drague, ligne, palangre, filets maillants (…) les techniques sont différentes et certaines peuvent abîmer les écosystèmes ou entraîner d’importantes captures de jeunes poissons, qui n’ont pas eu le temps de se reproduire, ou d’espèces non désirées. Les arts dormants comme la ligne ou le casier sont plus respectueuses des écosystèmes.
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🐠 Le poisson a-t-il eu le temps de se reproduire avant d’être capturé? La taille (de maturité) des poissons est importante afin de s’assurer qu’il ait pu se reproduire avant d’être capturé.
Contenus réalisés en partenariat avec Ethic Ocean.
Sources et pour aller plus loin :